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Notre action consiste à informer un maximum de personnes des dangers de la drogue et de la généralisation de celle-ci auprès des jeunes.

C'est grâce à une prévention objective et scientifique que ce fléau pourra reculer.

Seules les personnes ayant un intérêt d'amour peuvent la prendre en charge afin que nos enfants ne soient pas la cible de divers marchés (drogue, soin, suivi...). Les parents sont les mieux placés pour apprendre à leurs enfants à refuser la drogue ! 

Celui qui ne prend pas de drogue n'est pas drogué. A la différence d'une maladie, la drogue, ça ne s'attrape pas, ça se refuse.

Nous devons tous armer nos enfants en leur donnant la vérité sur les drogues.

 

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Les Formations

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Formations pour les parents, professeurs, infirmières scolaires, grands parents, adultes en responsabilité éducative et jeunes leaders... Ces formations ont lieu sur 

1 journée et sont destinées à se former sur les produits qui circulent et sur la façon dont on peut prévenir des dangers de la drogue autour de soi.

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  Les Relais

Devenez l'un des relais d'Enfance sans drogue grâce à une formation courte de 2 heures pour connaitre les drogues psychotropes, leurs effets et leurs conséquences. Que faire si votre enfant est consommateur ? 

Retrouvez tous les détails de ces formations ici

  

 

journal   " Agir, c'est aimer" : Notre journal 

Il a pour objet d'être un lien entre tous. Il rappelle aux parents l'importance d'aborder régulièrement ce sujet en famille et donne des conseils d'éducation sur la drogue.

 

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LE CANNABIS A PORTEE DE MAIN

 

  • La drogue est partout : 70% des lycéens consomment de manière occasionnelle ou régulière. La France est la championne européenne pour la consommation de cannabis. La deuxième drogue la plus consommée est le poppers.

  • Les produits proposés sont de plus en plus dosés : le cannabis des années 60 titrait 0,6 à 6% de THC (Tétra Hydro Cannabinol, principal principe actif du cannabis). Aujourd'hui il titre 10 à 35% de THC. La dépendance s'installe très rapidement. voir fiche cannabis
  • Il faut 4 jours pour éliminer la moitié du cannabis absorbé. Le cannabis reste stocké dans l'organisme minimum 28 jours. 

  • Le cannabis : drogue piège des adolescents. Au début ils s'amusent pour faire comme tout le monde mais très vite ils ne peuvent plus s'en passer.
  • Le cannabis : porte d'entrée dans les drogues

  • Le cannabis : vecteur de la toxicomanie. Un jeune qui a pris du cannabis va passer très rapidement à d'autres drogues.

 

CANNABIS / ALCOOL

 

  • Personne ne dit que le cannabis augmente le seuil de tolérance à l'alcool. Un jeune consommateur de cannabis peut boire plusieurs verres d'alcool sans être saoul. Il ne se rendra pas compte qu'il abuse et pourra aller jusqu'au comas éthylique (sans cannabis, les vomissements sont une première alerte). Le cannabis restant minimum 28 jours dans l'organisme, la consommation d'alcool même à distance d'une prise de drogue peut entraîner un comas éthylique.
  • Le consommateur de cannabis accoutumé au taux de THC devra prendre une dose importante d'alcool, ou un taux élevé d'alcool, pour en ressentir les effets. 
  • La forte consommation actuelle d'alcool masque dans la majorité des cas une consommation associée de drogues.
  • Expérience réalisée sur des rats : le rat à qui l'on propose de l'alcool n'en consomme pas. Quand on lui propose du cannabis, il en consomme. A partir de ce moment là, si on lui propose de l'alcool, il se met à en boire en grande quantité.

 

MAL-ETRE, DEPRESSION, SUICIDES

 

  • Ne mélangeons pas tout : les jeunes vont mal (mal-être, dépression, suicide) à cause de leur consommation de drogue et non l'inverse !
  • On va « soigner » des jeunes dits en mal-être, dépressifs en leur prescrivant bien souvent des drogues légales (antidépresseurs, anxiolytiques, somnifères...). Or les effets secondaires de ces drogues légales sont également mal-être, dépression, suicide... Il vaudrait mieux leur dire la vérité et leur expliquer qu'en arrêtant leur consommation de drogues, ils ne seront plus dépressifs. En leur prescrivant des drogues légales, le résultat va être une interaction de drogues avec des conséquences désastreuses pour l'individu (dépressions et suicides).
  • Comment meurt-on de drogue ? SUICIDE, accidents de la route, noyades...
  • Le suicide est la conséquence de la consommation de drogues psychotropes, qu'elles soient légales (antidépresseurs, anxiolytiques, somnifères...) ou illégales (drogues de la rue).
  • La drogue n'est pas une maladie. Elle ne se soigne pas, elle s'arrête par abstinence voir rubrique sevrage.

 

VIOLENCE ET ECHEC SCOLAIRE

 

  • Du cannabis à la violence et à l'échec scolaire, il n'y a qu'un pas...
  • Absentéisme scolaire : beaucoup de jeunes consommateurs ne peuvent plus se lever le matin.
  • Echec scolaire : perdant la maîtrise de son avenir professionnel à cause de la chute de ses résultats scolaires, le jeune n'a plus le choix de son orientation.
  • Une violence physique et verbale qui se généralise tant dans les familles que dans les lieux publics.

 

LE TABAC N'EST PAS UNE DROGUE PSYCHOTROPE !

 

  • Tout est fait pour diaboliser le tabac actuellement ! C'est un toxique puissant, dangereux à long terme pour la santé mais qui n'est pas une drogue psychotrope (qui agit sur l'esprit). Ce n'est pas en fumant du tabac que l'on devient toxicomane !
  • C'est la drogue, et non le tabac, qui provoque la violence chez les jeunes, de nombreux suicides, la délinquance et la criminalité.

 

EN CONCLUSION...

 

Mieux vaut prévenir que guérir ! Un jeune formé saura pourquoi il doit refuser la drogue et il informera ses amis. 

"Les parents doivent tout faire pour empêcher la première prise de drogue. 
 Les parents ne doivent pas baisser les bras face à la banalisation croissante du cannabis"
                                                                 Raymond Yans, Président de l'Organe International de Contrôle des Stupéfiants.