Accueil

Jean, 20 ans, étudiant en école de commerce: "C'est une question que je ne me pose plus trop, tant la réponse est enracinée en moi. Quand j'étais au collège et au début du lycée, j'ai toujours refusé de fumer quand on m'a proposé de prendre ne serait-ce qu'une taffe, parce que je voulais être un vrai sportif qui ne prend rien. A l'époque je faisais plusieurs heures de rugby par semaine. Au fond, j'avais sans doute aussi peur de la réaction de mon corps au produit, car nous sommes tous inégaux face à la drogue.

Et puis, en terminale, j'ai retrouvé un de mes anciens bons amis de collège que je n'avais pas revu depuis. Lui qui était si jovial, drôle et dynamique était devenu complètement apathique, sans motivation, ni désir. Il avait redoublé et avait changé trois fois de lycée. Il s'était surtout mis à fumer quotidiennement des joints. Cela a commencé à me faire prendre conscience de la dangerosité de cette drogue qu'avec hypocrisie et mensonge certains osent appeler « drogue douce ».

Lire la suite...

"Je ne pensais pas que ça allait m'accompagner dans un trou noir, pour moi il n'y avait pas de danger.

On nous demande d'être le plus beau, le plus intelligent, de sortir jusqu'à très tard (...) Pour arrêter j'ai dû accepter mes faiblesses."

Lire la suite...

Il faut du courage pour dire la vérité sur le cannabis trop souvent banalisé. Ma génération (j'ai la quarantaine) banalise son usage et je confirme que tous les milieux sont touchés et toutes les générations aussi (les parents, grands-parents.), et dans ma sphère professionnelle aussi. Cannabis et alcool sont des fléaux qui règnent dans nos sociétés et touchent TOUS NOS JEUNES, très jeunes (milieux aisés, intellectuels...). Oui tout est vrai malheureusement !

Lire la suite...

Lui il va plus à l'école, il traîne dehors...Quand il rentre il est violent et il se dispute avec ma mère. Ca m'arrive d'avoir vraiment très peur. 

Lire la suite...

Mon père et ma mère ils vivent plus ensemble. Mon père il fume des plantes qu'il fait pousser avec des lampes dans son placard. Il dit que ça ne lui fait pas mal mais il oublie tout.

Lire la suite...

Après avoir suivi la formation d'Enfance Sans Drogue, j'ai réalisé qu'il y avait urgence en tant que parents à s'investir dans l'information auprès de nos jeunes enfants contre les dangers de la drogue.

J'ai donc pris contact avec la directrice de l'école de mes enfants pour lui proposer d'intervenir sur ce thème dans les classes de CM1 et CM2.

Lire la suite...

Après l'école, en compagnie d'amis, nous avons essayé pour la première fois l'alcool et la marijuana : c'est ainsi que le mal est entré dans ma vie. Je cachais ce que je faisais en commençant par mentir à ma famille et après à tous les autres. J'étais convaincu d'avoir découvert la vraie vie et je passais mes soirées à aller d'une fête à l'autre, le divertissement n'en finissait jamais.

Lire la suite...

La première fois j'étais en fin de quatrième, j'ai pris du cannabis avec un copain de classe. C'était pas régulier. En troisième j'ai commencé à en prendre souvent. J'ai redoublé ma seconde. Je prenais plusieurs joints par jour et aussi des bangs. A la fin du premier trimestre j'ai été viré du lycée.

Lire la suite...

Vous (ndlr MC d'Welles) nous avez donné une conférence sur la drogue l'année dernière. A l'époque, je prenais de la drogue tous les jours. 6 mois plus tard, je n'en prenais plus.

Lire la suite...

J'avais seize ans. Comme on prenait du cannabis tous les jours, évidemment pour faire la fête il fallait autre chose ! Ca m'a tout de suite vraiment plu surtout que je suis plutôt du genre timide. C'est comme si j'avais tout. Mais

Lire la suite...

c'était surtout pour être avec mes copains. En fin de troisième je fumais cinq à six pets par jour, ça remplaçait la cigarette. Après

Lire la suite...

Je tiens à elle et je ne veux pas qu'elle se pourrisse la vie avec ça. Que faire ?

Lire la suite...

En y réfléchissant, je me dis que je suis venue à l'association (en 2000) par pur égoîsme de mère ! En effet, la peur de découvrir le "trop tard !", le " si j'avais su ! " surtout pour ma fille de 16 ans, alors que nous tenions, mon mari et moi, une discothèque depuis des années. 

Lire la suite...

et depuis deux ans, j'ai découvert que plusieurs de mes camarades (pas forcément dans ma classe) prenaient de la drogue : ils fumaient des joints.

Lire la suite...

Devant le constat évident que les jeunes sont de plus en plus tôt concernés par la drogue, Enfance Sans Drogue met le cap sur les CM2.

Lire la suite...

"pas cap" et alors c'est comme ça qu'on commence...

Lire la suite...

Elle ne comprend pas que personne ne vienne en aide à ses camarades de classe qui s'enfoncent de plus en plus dans leur solitude et qui pour certains ont déjà délaissé leurs cours.

Lire la suite...

Ce qui me pousse à vous écrire, c'est une tristesse de cœur, tristesse de constater que nos enfants sont souvent introduits dans le monde de la drogue à leur insu.

J'ai consulté avec mon enfant de douze ans la pédopsychiatre réputée. Le motif de la consultation étant une démotivation et un désintérêt pour l'école manifesté par un manque d'attention. Après m'avoir fait préciser que mon fils C... ne tenait pas en place à la maison et se déconcentrait rapidement en classe, la pédopsychiatre s'est adressée directement à C... Elle lui a déclaré que lorsqu'il aurait des contrôles, il n'aurait qu'à prendre un comprimé d'un médicament "merveilleux" qui le "remonterait" en cas de fatigue et que s'il se sentait démotivé, il serait motivé et qu'il aurait la pêche et ne s'évaderait plus à ce moment dans ses rêves.

Lire la suite...

 Nous avons la chance d'avoir cinq petits enfants en bonne santé. Il y a deux ans nous apprenons par Guillaume, qui a dix-sept ans, que sa cousine de quinze ans prend du cannabis régulièrement. Au lieu de faire l'autruche, mon mari qui a toujours été le conseiller de la famille, s'est attaqué au problème. Il est allé se former à Enfance Sans Drogue et a informé toute la famille.

Lire la suite...